Chloé Bloom

J'ai posé plusieurs questions à Chloé. Premièrement, qui est Chloé au-delà de Chloé Bloom. Quelle était la vie idéale pour elle

Chloe Bloom

J'ai posé plusieurs questions à Chloé. Premièrement, qui est Chloé au-delà de Chloé Bloom. Quelle était la vie idéale pour elle ?

J'ai eu le grand bonheur de recevoir Chloé Bloom, une de mes idoles pour mon 200ème épisode de mon podcast

Écoute, j'ai posé plusieurs questions à Chloé. Premièrement, qui est Chloé au-delà de Chloé Bloom. Quelle était la vie idéale pour elle ? Quelle est la beauté ? Et elle nous parle de beauté universelle. Est-ce qu'elle se trouve belle ?

À la fin de l'épisode, je lui ai aussi posé comme question : si elle avait juste une chose à expérimenter, à faire ou à voir, quelle serait cette chose ? Comme tu pourras le voir, Chloé est une de mes idoles. Je te laisse à cette entrevue, une entrevue de cœur où est-ce qu'on découvre un autre côté de la Chloé. Tu pourras aussi retrouver cette entrevue en vidéo sur mon Patreon. J'espère que tu vas aimer écouter cette entrevue parce que moi j'ai adoré la faire pour toi.

Dans un monde où tout va beaucoup trop vite, où tu n'as jamais le temps, jamais le temps ni pour toi, ni pour ta famille, ni pour tes employés.

On nous fait croire que c'est ça la vie. Il faut travailler fort. Il faut travailler dur pour réussir. Tu te sens seul, impuissant. Et tu trouves ça difficile parfois d'avancer. Tu penses même fermer ton entreprise parce que ton entreprise est en pleine croissance. Et plus tu grandis, plus tu grossis, moins tu fais d'argent, moins tu contrôles ta vie et plus tu travailles et plus tu te sens dépassé avec ta charge mentale.

Stop ! Il est temps de changer ta vie, de reconnecter avec ta zone de génie.

Celle qui t'a poussé à partir ton entreprise, à dire moi, c'est ça que je veux faire dans la vie. À partir de maintenant, tu peux développer des nouvelles compétences, tu peux faire de nouveaux choix pour toi, ta famille, tes employés. Deviens un chef d'entreprise, deviens le P. Arrête d'être le PDG. Deviens le P de président. Et comme moi, tu vas retrouver de la liberté pour voyager, pour accompagner les gens qui te font confiance.

Je m'appelle Lucie Bouchard, je suis administratrice agréée et ce podcast est commandité par l'Académie de l'éclosion et voyagedeductible.com.

Je suis à partir de maintenant, ta manager qui t'emmènera vers cette nouvelle liberté. Si tu aimes ce podcast, je t'invite à le partager à quelqu'un qui comme toi est en manque de temps. Quelles décisions vas-tu prendre aujourd'hui pour changer ta vie ?

Laisse-moi un commentaire sur ma chaîne YouTube de Fais voyager ton entreprise. Et ensemble, on pourra y arriver, on pourra discuter justement des décisions que tu vas prendre qui va faire qu'à tous les jours, tu vas aller vers cette fameuse liberté.

Merci de faire partie de mon univers et c'est parti !

  • Coucou Lucie, comment ça va ?

  • Ça va super bien et toi ?

  • Ça va, on y arrive enfin. 

  • Je le sais que tu dois être hyper occupée. Écoute, j'apprécie tellement que tu sois là. Mais dis-moi, tu es où dans le monde actuellement ?

  • Je suis à Bali.

  • Tu es à Bali ? Cool ! 

  • Donc, il est 16h16 tu vois, on a pas mal d'heures de décalage.

  • Oui un petit peu parce qu'ici il est 4 heures du matin.

  • C'est vrai ? Oui. Et donc, tu es debout depuis quelle heure là ?

  • Trois heures et demie. Je me suis préparé pour te recevoir. Fait que, ça me fait un grand plaisir d'être là.

  • Merci du fond du cœur, merci beaucoup Lucie.

  • Merci à toi. Il n'y avait pas de problème, ça me faisait un grand plaisir de me lever à trois heures et demie aujourd'hui. Merci beaucoup. Écoute, tu sais mon podcast Fais voyager ton entreprise. Donc, on parle d'entrepreneur. On parle de voyage. Si tu le veux bien, on commence par les voyages.

  • Carrément, avec plaisir.

  • La première question que j'avais pour toi : Qu'est-ce qui t'a amené à voyager, je sais que tu es une grande voyageuse. Mais qu'est-ce qui t'a amené à voyager comme ça ?

  • En fait, à la base moi, j'ai toujours voulu voyager quand j'étais petite ou plus jeune. Donc, quand j'étais plus jeune, je voyageais avec mes parents et puis après vient l'âge où tu dis, je n'ai plus envie de voyager avec mes parents. J'ai envie de voyager toute seule. Sauf que je n'avais jamais assez d'argent, jamais le temps ou que je n'avais jamais personne pour venir avec moi. Et donc grande frustration, et tu vois moi je me suis persuadé d'un truc quand je suis devenue une jeune adulte. Je me suis dit en fait, il y en a qui ont vraiment trop de la chance, qui partent au Mexique, qui partent dans La Réunion, qui partent en Indonésie, qui partent au Canada. Ces gens-là, ils ont tellement de la chance. Moi, je ne pourrais jamais, ça ne m'arrivera jamais en fait, de voyager. Et je me suis mis dans cette idée-là. Je me suis dit, voilà c'est comme ça. Je me fais une raison, je rêverais d'une vie que je n'aurais jamais. Et en fait donc, j'étais salariée et tout ça. Je suis devenue entrepreneure et puis au bout d'un moment que j'étais entrepreneure, je crois que ça fait 6 mois ou 1 an, je me suis dit « Mais attends. En fait, mon travail, je peux l'emmener partout avec moi. Je peux l'emmener sur mon sac à dos, pourquoi je reste ici ? » J'ai mon chéri, j'ai le travail. En fait, je peux partir où je veux. Est-ce que c'est vraiment vrai ? Est-ce que je peux vraiment faire ça? Et du coup, je me suis dit en fait, tu sais quoi je vais aller là où j'ai toujours rêvé de le faire. C'est bien loin, personne ne viendra me faire chier. Je vais aller en Australie. C'est le plus loin. Et du coup mon chéri a tout plaqué aussi, on a tout plaqué, on a rendu notre appartement. Je me souviens, on a eu le déclic, on était au Portugal en vacances pendant deux semaines. Et on se regardait, on disait, pourquoi on part juste au Portugal alors qu'on peut aller encore plus loin si on veut. On a envie d'aller plus loin, pourquoi on se bloque ? Et on s'est regardé on s'est dit, tu sais quoi, viens on prend nos visas pour l'Australie. On les a pris, on les a reçus dans les cinq minutes. Trois mois après, on avait fait nos valises, on avait tout vendu : notre appartement, nos vêtements, tout. On avait tout vendu, on avait une valise et on est parti.

  • Et dis-moi, à ce moment-là, la Chloé Bloom qu'on connaît aujourd'hui, femme à succès, multi-entrepreneure, ce n'était pas le cas là ?

  • Donc c'était vraiment un coup de tête. Ce n'était même pas Chloé Bloom à l'époque, c'était Chloé Lanchois sur les réseaux sociaux. En fait, je venais juste de me lancer, moi, dans l'entreprenariat. Et puis je n'avais jamais beaucoup beaucoup voyagé. Donc si tu veux, je n'avais pas du tout cette introspection, enfin tout ce qui était un peu connaissance de soi etc.. Ce n'était pas forcément un truc qui me parlait beaucoup.

  • C'est beaucoup le voyage aussi extérieur qui a amené le voyage intérieur ?

  • Et non j'étais épanouie, j'étais bien avec mon chéri. Mais j'étais complètement différente, j'étais encore pleine de blocage, pleine de peur. J'étais encore enfermée dans beaucoup de schémas. La vérité c'est que, je crois que je suis partie en voyage pour partir loin de mes parents, pour être sûre qu'ils m'aiment en fait. J'avais besoin de manquer à mes parents et je crois qu'il y a une des raisons pour laquelle je suis partie qui était celle-ci. Qui était aussi, puisque c'est comme ça, je pars loin de tout parce que j'ai besoin de voir si vous m'aimez. C'est un peu ce truc qui a commencé qui a tout déclenché en fait.

  • Écoute, c'était en quelle année ça ?

  • C'était en 2018.

  • Et depuis ce temps, tu te promènes à travers le monde.

  • Eh bien oui, je pars en France deux fois par an. Mais en fait, on est partis un an en Australie en se disant, on reviendra habiter en France dans un an, on reprend la même vie. Sauf que c'est un peu comme si tu avais pris 25 cm et que tu essayais de continuer à rentrer dans le même jean en fait, ce n'est pas possible. Donc au bout d'un an, on s'est regardé, on s'est dit pourquoi en fait on se dit qu'on doit rentrer. On ne doit rien du tout qu'est-ce qu'on veut. En fait, on ne veut pas rentrer. Donc on a fait Bali, on a fait le Mexique, on a fait le Portugal, on est allé un peu partout. Et puis ça fait du coup depuis 2018 qu'en fait, on voyage. On est nomade et on rentre en France pour prendre notre dose de proches, de parents, d'amour, de faire ce qu'on a à faire : l'administratif, la santé, les trucs. Et puis on continue d'explorer le monde tous les deux.

  • Et dis-moi, ton chéri. Je crois qu'il ne travaille pas avec toi ou vous avez une entreprise ensemble. Donc lui aussi, il a changé sa business entre parenthèses en disant « je vais devenir digital. Je ne suis pas capable de faire ce que je faisais avant. On va faire autre chose. » Donc, vous avez osé si je comprends bien.

  • C'est ça exactement. Et lui aussi c'était très différent en fait lui, il était expert comptable. Donc, tu vois, un métier très carré, très dans un bureau et tout. Mais en fait, déjà à l'époque, il dénotait parce que, mon chéri, ce n'est pas du tout. Alors, je ne vais pas dire qu'il ne ressemble pas à un expert-comptable, ça veut rien dire. Mais il n'était pas du tout expert comptable dans sa tête. C'est un mec qui adore le sport, qui a tout le temps besoin de bouger, d'être dehors, qui n'avait rien à voir avec ce truc d'expert comptable qui a toujours rêvé d'être coach tu vois. Il a toujours eu ce truc à l'intérieur de lui. Et quand il m'a vu moi, m'épanouir en fait dans ce que j'aimais faire, dans l'entreprenariat et avoir envie de bouger et tout. Il s'est dit, mais en fait pourquoi moi je reste enfermé dans un truc parce que je pense que je dois faire ça et en fait ce n'est pas ce que j'aime, j'ai d'autres rêves. Donc il s'est lancé aussi, ça a été difficile de casser un peu toutes ces barrières et ces croyances qu'il avait. Ça a été difficile pendant longtemps ce schéma-là. Parce que franchement, ça demande vraiment de déconstruire beaucoup de choses, l'éducation parentale, etc.. Ce n'est pas simple. Et en fait, aujourd'hui il fait du coaching business et beaucoup de coaching autour de tout ce qui va être dépassement de soi, biohacking, we move, bain glacé et tout. Et il le kiffe tu vois. C'est vraiment cool.

  • Dis-moi, dans tous les voyages que tu as fait jusqu'à maintenant, quel a été le plus beau voyage ?

  • Celui à l'intérieur de moi évidemment. Le voyage, ça te fait lâcher tellement d'à priori, ça te fait te confronter à des croyances, des injonctions, des tas d'à priori que tu as propos de toi, à propos de la vie, à propos de tout. Donc, ça te confronte à beaucoup de choses, ça remet en question tout ce que tu crois être juste en fait. Donc évidemment, celui à l'intérieur de moi mais je dirais que celui qui me saisit le plus en tout cas. En fait, le voyage qui m'a le plus fait tomber en amour, c'est le Mexique, l'Amérique Latine et surtout le Mexique. Il y a une partie de mon cœur qui est là-bas, je le sais. Il y a une partie de mon cœur qui est là-bas.

  • Pourquoi ? Parce que tu as vécu là-bas plus de transformation, plus de conscience ?

  • Même quand j'en parle, j'ai des frissons. En fait, c'est la culture. C'est la culture, c'est la spiritualité que je trouve là-bas aussi, c'est l'énergie de la terre, c'est les gens, c'est la chaleur, la musique, les couleurs, la notion d'esprit, la nature qui est incroyable. Il y a un truc là-bas qui fait qu'à chaque fois que j'y vais, c'est dur. J'ai l'impression d'en prendre plein la face. Et puis après je vais bien, et puis même dans mon couple et tout, c'est hyper intense. Et en fait ça te transforme, ça te fait tellement travailler sur toi, ça te fait te dépouiller, ça te fait gagner en humilité, c'est magnifique.

  • Et qu'est-ce que tu dirais, là tu es à Bali maintenant. Dans les rêves de jeune fille. Bali, ça a l'air tellement wow. Qu'est-ce que tu dirais qui est différent d'où est-ce que tu es présentement ?

  • C'est différent parce que c'est vrai qu'en fait la première fois que je suis venue à Bali, moi je n'ai pas du tout aimé. Parce que je m'attendais vraiment à un truc super magique, super sauvage et tout. Alors qu'en fait c'est l'île la plus touristique du monde. Il y a un côté très superficiel aussi à Bali. Je n'ai pas du tout aimé et en fait j'ai réappris à aimer Bali en fait en y venant régulièrement et en apprenant à découvrir le vrai Bali quand tu creuses aussi dessous en fait. Comme dans chaque pays finalement quand tu restes, tu n'y vas pas juste en vacances. Quand tu vis vraiment dans un endroit, tu apprends à le découvrir comme il est vraiment en fait avec les locaux. Et du coup c'est génial et Bali est magique. Bali, c'est un endroit plein de magie, très féminin, très doux et en même temps super puissant où tu connectes avec plein de gens qui se remettent en question, qui ont envie de grandir, qui ont envie d'aider. C'est beau, c'est un bel endroit, c'est un très bel endroit.

  • Et dis-moi, où est-ce que tu n'as pas été encore et que tu aimerais aller ?

  • Dans tous les pays du monde.

  • Il en manque combien parce que tu dois avoir fait au moins la moitié. Le monde est trop grand.

  • Écoute, là dans mes prochains mois, je vais faire des voyages que j'ai très envie de faire depuis très longtemps et que je n'ai pas encore fait, à savoir le Canada. Donc je suis très contente de pouvoir enfin venir, le Pérou et le Guatemala. Et ces trois pays, je sens qu'il faut que j'y aille, je suis très appelée et je vais enfin prendre le temps de le faire.

  • Et là dans ton développement intérieur, qu'est-ce que tu as fait que tu dirais, ça, ça a été le moment où est-ce que j'ai vraiment changé, où ça m'a changé. Quel moment tu dirais jusqu'à maintenant qui a été le plus marquant pour toi ?

  • Et bien écoute, je crois que ça a été l'année dernière. Je crois que ça a été l'année 2021 qui a été une année très très dure pour moi. J'ai eu un souci de santé que j'ai toujours. Donc ça fait plus d'un an, ça fait un an et demi maintenant que j'ai un souci de santé qui est difficile à vivre. Et qui m'a fait reprioriser plein de choses dans ma vie en fait. Parce que tu sais quand tu as la santé, tu veux plein de trucs. Tu veux l'argent, la fame, la réussite, les mecs, tu veux plein de trucs. Et quand tu n'as pas la santé, tu veux une seule chose. Tu veux la santé. Ça m'a vraiment fait remettre plein de choses au centre, plein de choses au milieu, ça m'a remis un peu les yeux en face des trous. Ça m'a fait me poser des questions à propos de ce que je voulais vraiment dans la vie. En fait moi, je ne veux pas passer mon temps à travailler. Je ne veux pas sauver le monde. Moi je veux être heureuse, c'est tout ce que je veux tu vois. Ça m'a fait poser beaucoup de questions, ça nous a fait aussi remettre notre couple au centre de tout, reprendre le temps de vraiment se remettre au centre. Ça m'a demandé aussi voilà, où est-ce que je trouvais la joie dans ma vie en fait. Si demain ma vie doit s'arrêter, est-ce que j'ai une expérience de vie joyeuse? Donc tu vois, j'ai envie d'être joyeuse. Donc je me suis mis à faire de la musique, je me suis mis à chanter, je fais plein de sports. Je me remets à la peinture. En fait j'ai envie d'être joyeuse. Et l'année dernière ça a été une année difficile tant au niveau business. Parce qu'il nous est arrivé plein de choses, parce qu'on a beaucoup recruté, que j'ai énormément travaillé, ça n'a pas été simple avec mon associé, ça n'a pas toujours été simple. Il y a eu la santé, il y a eu plein de choses, il y a eu le Covid, le postcovid qui nous a bloqué sur plein de trucs. Eh oui, ça a été une année super intense qui a été géniale. Parce que ça m'a demandé de me dépouiller, de me désencombrer en fait de tout ce que j'avais accumulé en mode moi je veux tout, je veux tout, je veux tout. Et ça m'a fait me reposer les questions à propos de ce qui était important pour moi et je crois que c'était la meilleure chose à faire.

  • Et dis-moi, à travers tout ça parce que je sais pour écouter tes podcasts que j'adore. À un moment donné, tu as dit Chloé Bloom on l'a créée sur mesure. Mais Chloé Bloom, c'est une partie de toi mais ce n'est pas : je suis ça. Et si je parle à la Chloé, celle en arrière de la Chloé Bloom, en fait c'est ça que tu as retrouvé si je comprends.

  • Exactement, Chloé Bloom, ce n'est pas moi. Chloé Bloom c'est une partie de moi, c'est une de mes identités et c'est génial. Mais quand je suis en train tu vois, dans un de mes podcasts justement, je prenais l'exemple de la plongée. Moi je fais beaucoup de plongée sous-marine justement. Et en fait quand je plonge, je trouve que c'est la plus belle méditation qui soit. Parce que, quand je plonge, je ne suis plus personne. Et quand je plonge, je ne suis rien, je suis juste en train d'être dans un monde qui n'est pas humain. Je ne suis pas à ma place parce que l'être humain, il n'est pas censé respirer sous l'eau. Et juste, il n'a rien à faire là tu vois, dans les fonds sous-marins. Et je suis juste un observateur, j'essaie de me laisser aller dans le courant. Il ne faut pas que je lutte. Donc, tout ce que je dois faire, c'est respirer calmement et je suis juste connectée à ma respiration. Je ne suis pas Chloé Bloom. Je ne suis même pas Chloé, je suis juste et c'est tout. Et j'avais besoin de reconnecter à ce truc exactement comme tu dis d'apprendre à ne pas s'identifier trop à tout ce qu'on raconte, nos petites étiquettes :« Alors moi, je suis coach machin… Je suis l'auteur du podcast truc... Moi je suis telle personne, j'ai fait ça, je suis créateur de tel truc… ». C'est génial tout ça parce qu'on a besoin de se présenter comme ça, on a besoin de ces identités pour se présenter, pour connecter avec des gens. Mais au fond, il faut aussi savoir se déconnecter de toutes ces étiquettes qu'on se met et revenir en fait à juste soi. Et des fois, on n'arrive même pas à décrire ce qu'on fait et moi quand on me dit, Chloé, c'est quoi ton métier et franchement j'en sais rien. Mais je sais que je fais ce que j'aime et c'est génial. Et c'est top d'arriver à se déconnecter un peu de toutes ces étiquettes-là. Moi, j'en avais besoin. Parce qu'à force de s'identifier, on finit par y croire. Et moi, j'avais fini par croire que j'étais Chloé Bloom et que je devais m'habiller que d'une certaine manière. Et que je ne savais faire que ça et pas autre chose et que mon expertise c'était ça et pas autre chose. Et que j'étais obligée de m'enfermer dans cette mission, dans cette cheffe d'entreprise que je devais faire si je devais faire ça. Et la joie, elle est où ? La spontanéité, elle est où, tu vois ? Donc voilà, la vraie femme, la petite fille, celle qui rêvait. Au lieu d'avoir, c'est d'être. Donc, de retrouver ton être. Exactement, oui.

  • Dans ce voyage-là, où est-ce que tu te vois dans les prochaines années ?

  • Alors, beaucoup plus posé parce que là, ça fait cinq ans qu'on déménage très souvent presque tous les mois et c'est assez fatigant. C'est fatigant pour tout parce qu'on a quand même tu sais, tu n'as jamais de chez toi, et on a beau se dépouiller, être minimaliste et tout ce que tu veux. Ce n'est pas simple de ne pas avoir de repères. Donc ça m'a beaucoup enseigné mais là, je commence à avoir envie tu vois, de m'ancrer, d'avoir un endroit où je peux rentrer quand même chez moi et où je suis, c'est chez moi. J'ai quelque part où rentrer. Voilà, ça commence à me manquer. Donc, je pense que dans cinq ans, je serai posée, j'aurai une base, je continuerai de voyager. Mais je pense que je serai, j'aurai un chez moi. Et j'en suis sûre et certaine. Je ne sais pas où, mais j'en suis sûre et certaine. Et puis, tu as une maison à plusieurs endroits en fait. Pourquoi pas.

  • Je sais que tu es une multi entrepreneure, donc, tu as plusieurs entreprises. Tu as géré comme tu dis beaucoup de choses en même temps. Beaucoup d'entreprises amènent beaucoup de défis et puis beaucoup de temps et d'énergie. Est-ce que c'est dans ce dépouillement-là que tu as pris des décisions de dire, écoute, celle-là non, celle là un peu plus ou un peu moins. C'est vraiment dans ce cheminement-là que tu as dû prendre des décisions de dire où je mets mon énergie ?

  • Exactement. En fait, il y a des choses qui ne résonnaient plus vraiment à l'intérieur de moi où en fait il y avait des choses. En fait, il y avait des projets que j'avais trop envie de faire, que je faisais parce que je me disais, je suis multi entrepreneure, j'ai un empire. L'ego, tu vois, et c'est ok. Et c'est ok, ça fait partie du chemin. Mais en fait, ça crée de la souffrance chez moi. Je me retrouvais à avoir beaucoup plus de « il faut que je fasse ça » plutôt que « je veux faire ça ». Il y avait beaucoup de « il faut » plus que de « je veux dans ma vie ». Et en fait moi, mon énergie, je n'ai pas envie de la mettre dans des trucs où j'ai de la souffrance. Je n'ai pas envie de la mettre dans des « il faut ». Je n'ai pas envie de m'infliger de choses. Si je suis devenue entrepreneur, c'est pour me libérer de quelque chose. Ce n'est pas pour me remettre dans des cages. Donc, dans tout ce cheminement de dépouillement, je me suis dit en fait, il va falloir que j'accepte de laisser mourir la vieille identité de Chloé la boss woman, qui a un empire et qui est multi entrepreneure. Si je ne veux plus souffrir de ça, il faut que j'accepte de la laisser mourir et de renaître dans une Chloé Bloom en fait qui fait moins de choses. Peut-être qu'il y a moins d'entreprises, qui gagne moins ou qui impacte moins ou peu importe. Mais en tout cas, qui est plus, c'est plus juste, c'est plus aligné, qui a plus de temps pour être joyeuse, qui a plus de temps dans son couple, qui a plus de temps seule, qui a plus de temps pour voyager, pour kiffer. Et c'est challengeant, ça demande de lâcher. Tu as pas mal d'insécurité, de trucs autour de l'égo, de mourir dans certaines versions de soi et de réapprendre à marcher sur des trucs comme un bébé. Et c'est hyper riche, c'est hyper puissant. Donc, j'ai arrêté ma marque de vêtements alors qu'elle cartonnait. J'avais créé une marque de vêtements qui cartonnait. Et en fait c'était génial, ça a servi mon égo, c'est cool. Mais en fait, au fond, c'était compliqué. Ça crée de la friction. Mon équipe en souffrait un peu. Moi aussi, je n'avais plus de temps. J'arrête. Moi je dis non pour me dire oui à moi. Pareil pour d'autres programmes que je vendais. J'ai dit non pour pouvoir me dire oui. Pareil pour mes coaching, j'ai dit non pour pouvoir me dire oui. Pareil pour les retraites, j'ai dit non pour pouvoir me dire oui. Et en fait, même là, il y a deux semaines, j'ai revendu mon coworking pour pouvoir me dire oui. Donc en fait, j'ai arrêté 80 % de mes activités pour me dire oui à moi, faire ce que j'aime. Et tu vois, en faisant ce que j'aime, j'ai plus d'énergie, je suis plus alignée, j'ai un impact qui est plus cool. Je suis plus authentique je pense.

  • Et la vie est plus fluide.

  • Absolument, se choisir, c'est un gros pas et c'est un pas qui est difficile.

  • Et qu'est-ce que tu trouves justement de difficile dans ce pas là de dire « je dois me choisir, je veux me choisir ».

  • Mais ce n'est pas facile parce qu'on dit non souvent là. En fait ce n'est pas facile parce que je crois qu'il y a une définition de la réussite qui circule beaucoup, qui est qu'en fait la réussite, ça se mesure avec la notoriété, avec l'argent, avec la visibilité, avec le nombre de personnes que tu impactes. Et quand tu te défies à travers ça en fait, tu te perds et tu cours une course qui n'est clairement pas la tienne. Donc ça c'est difficile aussi parce que, l'éducation qu'on a reçue n'est pas du tout autour de « fais-en moins, pense à être heureux, suis ta joie ». On n'a pas été éduqué comme ça, on est éduqué à performance, réussite, comparaison. Donc, tu vois, ce n'est pas facile. En fait, on doit réapprendre. Et ce qui n'est pas facile aussi, c'est dans la notion d'être aimée. Ça demande beaucoup d'amour de soi, de se dépouiller surtout quand les choses marchent bien. Parce qu'en fait, quand tu sais que c'est quand tu réussis qu'on t'aime. Quand tu fais les choses bien et quand tu es bon à l'école, tout ça. Moi j'ai appris en fait ce que j'ai cru pendant longtemps, c'est que mes parents m'aimaient quand je réussissais les choses, quand je faisais bien les choses, quand j'étais parfaite. Et le fait de faire moins bien, d'accepter de se tromper, de faire moins de choses, de moins réussir, d'être moins parfaite. En fait c'est difficile parce que ça te met beaucoup en insécurité de « mince on ne va plus m'aimer ». Il n'y a plus personne qui m'aime. Alors moi, il faut que j'apprenne à m'aimer. Et c'est pour ça que ce n'est pas facile. Non, ce n'est pas facile. Il y a certaines personnes qui vont passer une quête de vie à essayer de s'aimer soi-même, de se trouver et tout ça.

  • Puis toi, tu dirais que dans ce chemin-là, tu es rendue où maintenant ?

  • J'ai gravi pas mal de collines sur l'amour de soi mais il me reste encore l'Himalaya à grimper je crois. Tout va bien, je suis contente, c'est génial. Je sais le chemin que j'ai à faire pour les prochaines années, c'est gravir encore des montagnes et ça ne s'arrêtera jamais. Et puis, derrière l'Himalaya, il y aura peut-être d'autres trucs encore. Je ne sais pas, l'Everest, je n'en sais rien. Mais ce qui est sûr, c'est qu'aujourd'hui, je m'aime tellement plus qu'avant. Donc c'est génial.Mais pour moi, c'est un travail qui n'est jamais fini et qui est quotidien. Comment se choisir encore et encore et encore et encore, C'est vraiment un travail qui est quotidien. Donc, on verra.

  • J'aurais le goût de te demander. Quelle personne, quel endroit, ou quelle technique t'a plus aidée jusqu'à maintenant ?

  • Je crois que ce qu'il y a de plus initiatique, c'est le couple, la relation de couple pour moi. Parce qu'en fait, tu ne te mets pas avec quelqu'un pour qu'il te fasse grandir. Tu te mets avec quelqu'un parce que c'est lui que tu aimes et c'est tout. Mais du coup, c'est très initiatique parce qu'en fait, d'être en couple pour moi, ça te demande de donner ce que tu as le moins envie de donner. Ça te met face à tes pires démons, ça te met face à tout ce qui est difficile et douloureux pour toi en fait. Donc le couple pour moi, c'est quelque chose de très initiatique en ça je dirais. C'est ce qui m'a fait plus grandir.

  • Écoute, moi, il y a une phrase que j'adore qui dit qu’ « être en couple en fait, c'est qu'on aime la version nous-même quand on est en présence de l'autre.»

  • Oui j'avais entendu, François Lemay aussi dire ça : « Je t'aime, c'est j'aime qui je suis en ta présence » et j'avais adoré cette façon de parler.

  • Oui tout à fait. C'est comme tu dis apprendre à s'aimer, ça implique d'enlever un paquet de stéréotypes, un paquet de choses qu'on a autour de soi. Et puis je trouve ça drôle parce que j'accompagne les entrepreneurs à se sortir de leurs entreprises pour avoir une vie. Et puis, ce cheminement-là, de changement. Moi je le vis avec eux, c'est extraordinaire. Parce qu'ils finissent par se redécouvrir et c'était perdu en fait. Et si j'entends ton histoire, j'entends ce que tu me dis, c'est un peu ça, la performance à un moment donné, on finit par se perdre et puis on doit se retrouver. Donc, toi tu étais encore dans ce cheminement-là. Si je te disais, ta vie idéale dans cinq ans, ça serait quoi ?

  • Ma vie idéale je pense que je continuerai de voyager. Je sais que je serai au chaud, je serais sous les tropiques. Je sais que j'aurais un chez moi. Je pense que je ferai ce que j'aime. Je travaillerai mais pas trop quand même. J'ai besoin de travailler parce que j'ai besoin de donner du sens professionnel dans ma vie. Mais tu vois, j'ai besoin de travailler 20 heures par semaine, ça me suffit largement. Et je pense qu'en fait, il faudrait qu'il y ait une grande grande place pour la curiosité, la découverte et l'amusement. Je crois que c'est super important et je pense que dans cinq ans, ma vie idéale, ça serait d'être capable de tout affirmer de moi sans jamais avoir peur de décevoir.

  • En sachant que la seule personne à qui tu dois plaire, c'est toi-même. Beaucoup de gens sont dans cette situation-là, d'essayer de plaire aux autres. Quel serait le truc, la stratégie. Qu'est-ce que tu aimerais leur dire à ces gens-là ?

  • Alors moi, je dis rarement des trucs super gentils à ce niveau là. Donc en fait ce que j'ai envie de dire c'est que, quand on a tout le temps peur du regard des autres et qu'on veut tout le temps plaire aux autres. C'est parce qu'on est persuadé que tout tourne autour de notre petit nombril. En fait c'est un truc super égocentrique. Donc, il faut juste oublier ça deux secondes et oublier d'arrêter de faire de la vie une petite histoire personnelle, que ce soit dans notre métier, que ce soit quand on entre dans une pièce ou quoi que ce soit. Même typiquement dans notre métier, quand on a peur, quand on veut plaire à tout le monde dans un métier qu'on fait par exemple ou même quand on passe sur scène. C'est parce qu'en fait on en fait une affaire personnelle et qu'on est persuadé qu'on est ici aussi juste pour se faire plaisir soi-même. Et moi j'aime en fait rappeler que, quand on fait un métier qui est important comme le tien, le mien ou autre en fait quelques métiers qu'on fasse, c'est toujours pour se mettre au service de quelque chose de plus grand que nous. C'est toujours aussi pour servir. Donc, il faut arrêter de faire tourner ça autour de notre petit nombril constamment. Et quand on oublie ça en fait, on se concentre vraiment sur la mission qu'on est censé accomplir, on se concentre vraiment sur ce qu'on a envie de déposer comme valeur plutôt que se dire ok, alors il faut que je plaise et tout est à propos de moi et moi et moi et moi et moi et moi. Il faut sortir un peu du moi et penser en peu plus en nous. Et en fait ça aide énormément à prendre du recul.

  • Dans cette mission-là, la petite Chloé, celle qui est en train de se retrouver, celle qui est en train de se découvrir. Quelle est la mission de Chloé ?

  • Ma mission c'est de vivre. Déjà, c'est de vivre. C'est beaucoup la vie si tu as une mission tu vois. Donc, vivre en conscience et de vivre joyeusement et de découvrir la vie. Moi je crois qu'il y a ça. Tu vois, moi je crois que je n'ai jamais quitté mes rêves de petite fille. La petite fille qui a envie de briller, qui a tout le temps envie d'être au centre de l'attention mais qui a envie de s'amuser, qui a envie de découvrir, qui a envie d'essayer plein de trucs et hyper curieuse. Je n'ai jamais quitté ça et je suis super fière en fait de ne pas avoir quitté ça et d'avoir reconnecté avec ce truc l'année dernière. Je crois que ma mission c'est ça, c'est vraiment de vivre. Et il y a une notion de beauté qui est très forte et qui m'habite, qu'on retrouve un peu chez Chloé Bloom dans les programmes, mais qui est très forte chez moi en tant que Chloé. La beauté pour moi c'est un truc qui est super important. Révéler la beauté, voir la beauté, regarder la beauté, incarner la beauté, montrer la beauté. Il y a beaucoup beaucoup ce truc là et je sais que ma conscience, il y a beaucoup ce truc autour de la beauté. Comment est-ce que je peux montrer aux gens que la vie elle est belle que tout est beau. Même en eux qu'il y a du beau partout. Et comment est-ce que moi je peux trouver de la beauté partout même dans le plus moche. Je crois qu'il y a ce truc là. Intéressant.

  • Donc ce n'est juste une beauté extérieure. On ne parle pas de maquillage. On parle de tout ce qui est en fait. L'être, la beauté d'être.

  • La beauté de l'instant, la beauté du moment, la beauté de la nature, la beauté de l'émotion. On ne parle pas du tout du côté physique. J'aime le beau physiquement. J'aime le beau, la nature, les paysages, la peinture, les gens j'aime tout. Mais moi je parle vraiment de la beauté universelle tu vois d'un point de vue vraiment universel. J'ai vraiment un truc avec la beauté et je crois que ma mission c'est ça. C'est de trouver la vie belle.

  • Et j'aurai une question pour toi, est-ce que tu te trouves belle Chloé ?

  • Oui, aujourd'hui oui. Pas uniquement belle, j'ai du moche en moi, j'ai des choses moins belle. La vie je ne la trouve pas que belle. La vie elle est aussi dure, elle est aussi noire, elle est aussi douloureuse. Mais en fait c'est trop beau, c'est ça qui fait que c'est beau, c'est le contraste. Et même c'est pour ça que je trouve que je suis belle c'est parce que je suis quelqu'un qui est plein de contrastes et plein de paradoxes. Et c'est ce qui fait que je trouve que je suis belle. Je ne suis pas une personne bienveillante, tout le temps douce etc.. Mais tu vois, c'est ce qui fait que je me trouve belle, une peinture on la trouve belle parce qu'elle est pleine de contraste. Moi j'ai appris à me trouver belle parce que j'étais pleine de contraste.

  • Et si tu avais une chose à choisir demain matin, juste une chose à voir, à faire, à expérimenter, quelle serait cette chose ?

  • C'est dur. Je crois que je voudrais m'asseoir. Je voudrais m'asseoir avec mon chéri et regarder un coucher de soleil et juste même pas parler, juste respirer et regarder. Tu vois, d'être dans la beauté de l'instant, regarder quelque chose de beau, être dans une belle relation, dans un beau moment, vivre une belle émotion et ça me suffit.

  • Donc le moment présent. Et c'est ce que tu retrouves en plongée parce qu'on n'a pas le choix en plongée sous-marine, d'être dans le moment présent. Il faut être conscient de où est-ce qu'on est. Parce qu'il y a quand même un danger et que si on n'est pas dans le moment présent, on risque notre vie. Donc, c'est un peut ça et c'est ce que j'ai retrouvé moi aussi en plongée sous-marine, je te comprends tout à fait. Donc vivre le moment présent.

  • C'est vraiment ça, revenir à la beauté de l'instant.

  • Chloé, grand merci.

  • Je sais que ton temps est précieux, je l'apprécie tellement. Sache que peu importe comment je peux t'aider, tu n'hésites pas.

  • Merci infiniment Lucie. Mais tu sais, déjà juste cet échange, ça m'inspire énormément, ça me donne de l'énergie, c'est beau tu vois. Donc merci. Merci beaucoup à toi, c'est génial.

  • Merci, et puis moi, tu vois mon rêve de petite fille, c'est de marcher sur la plage avec Chloé à quelque part dans le monde. Mais on va le créer. On fait notre cible dans la vie et tu vois, j'ai vécu un rêve en fin de semaine. J'étais sur la scène de Martin Latulippe. Il m'a invitée à être sur son panel. Et ça c'était un rêve de petite fille, de dire, je veux briller devant 1 200 personnes. Un peu ce que tu as fait quand tu es allée à Paris. Moi, je l'ai vécu à Québec. Donc, j'ai plein de gratitude cette semaine. Je n'ai que de belles personnes autour de moi dont Chloé Bloom.

  • C'est ce que tu attires donc c'est logique.

  • Merci beaucoup, merci d'avoir été avec moi, c'est super gentil. Continue de rayonner ton être. La Chloé, la petite Chloé. Tu es tellement magnifique.

  • Merci beaucoup du fond du cœur. Au revoir.


J'ai demandé à Chloé quelle est la formation qui serait intéressante pour toi

Si jamais tu as aimé cette entrevue, que tu as aimé la Chloé en dehors de la Chloé Boom ou avec la Chloé Boom puisque les deux sont les mêmes, tu vas pouvoir aimer sa formation Conscience créatrice.

Je te mets le lien en fin d'épisode et moi je m'en vais travailler pour créer mon voyage à marcher sur le bord de la mer avec Chloé. Merci d'avoir été là jusqu'à la fin et nous on se retrouve demain parce que mon 200ème épisode sera suivi d'une série sur les voyages à tous les jours du mois de septembre, à partir d'aujourd'hui, de demain en fait.

Tous les jours, je vais te faire un live avec des invitées spéciales pour te parler de ma passion : le voyage.

Merci, on se donne rendez-vous demain


Catégories: : Texte

L’ACADÉMIE DE L’ÉCLOSION SUR LES MÉDIAS SOCIAUX

Je t’invite à donner ton avis sur un sujet précis ou à me poser une question,
tous les lundis matins en direct de Facebook.

   Joins-toi à moi !

Facebook | Linkedin | Instagram | Youtube | WhatsApp | Twitter